victime des néo-nazis grecs…
Laissé pour mort lors d’un tabassage à la barre de fer par les nervis d’Aube dorée, le jeune Guinéen craint désormais pour sa vie. A Athènes, son statut de réfugié politique ne le protège aucunement des violences de l’extrême droite… ou de la police.
Une sécurité minimale d’existence n’étant plus assurée en Grèce pour « les étrangers », le jeune homme est arrivé en Belgique début octobre. Bah y a demandé l’asile.
Seule notre solidarité sera à même de décider les autorités belges à le lui accorder.
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