Dans cinq semaines, le gouvernement Syriza sera confronté au dernier diktat imposé par « les institutions de Bruxelles » : préciser, dans le moindre détail, l’ensemble des réformes structurelles (relance des privatisations, exacerbation des licenciements de masse, diminution violente des salaires…) qui sont la condition sine qua non à l’octroi de nouvelles « aides » financières à Athènes.
Constat : la stratégie défendue par Aléxis Tsípras et Yánis Varoufákis (revendiquer la fin de l’austérité, tout en restant dans « la zone euro »…) s’est complètement épuisée.
Du coup, de plus en plus de voix s’expriment en Grèce pour exiger du gouvernement hellène un changement de cap… aussi radical que l’intransigeance affichée par la Commission européenne, les dirigeants de l’Eurogroupe, la BCE et le FMI.
Pour répondre à ces défis qui, au-delà du « cas grec », interrogent toute stratégie de sortie de crise, débattre sans œillère et sans avoir peur des controverses est des plus urgents.
C’est l’ambition du samedi 25 avril après-midi, où l’on pourra discuter avec Yiorgos VASSALOS (l’un des responsables de « l’Initiative de solidarité avec la Grèce qui résiste ») du processus de radicalisation en train de traverser Syriza et la société progressiste grecque.
DÉTAILS PRATIQUES
Quand ? Le samedi 25 avril, de 15 à 16 heures 30
Où ? 61 rue de la Victoire à Saint-Gilles (au siège de l’UPJB).
Accès : Métro « Porte de Hal »
Organisation : Attac-Bruxelles [1]
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