Questions de société : « Va-t-on irrémédiablement manquer d’eau ? » ; « Que ferons-nous quand viendra une nouvelle et inévitable pandémie ? »…
A Bruxelles, le chantier du métro 3 s’enfonce dans un tunnel « sans fonds » ; les autorités cautionnent le démantèlement de Delhaize ; et des policiers continuent d’utiliser impunément une violence hors-norme.
Sinon, il y a de quoi s’insurger : l’assassinat de Lumumba dont la Belgique refuse toujours d’assumer la responsabilité ; l’histoire récente de l’Ukraine que l’on continue sciemment à trafiquer ; les centaines de Palestiniens torturés dans les prisons d’Israël ; en Turquie, les sinistrés du tremblement de terre qui, huit mois après, survivent toujours dans un dénuement extrême ; à Florence, la classe ouvrière désormais embringuée dans un conflit industriel historique…
Et dans le pénitencier londonien de Belmarsh (réservé aux terroristes de la pire espèce), Julian Assange qui va entamer sa 1.638ème journée de réclusion –alors qu’il est innocent de tout crime, délit ou infraction…
En rendant compte d’une actualité débridée si confondante, il n’est pas question pour autant de sombrer dans le catastrophisme, la nostalgie voire le défaitisme. Au contraire, ce 23ème Festival du Cinéma d’Attac se veut un moment enjoué et surprenant où il s’agit de s’approprier de nouveaux impératifs, de nouvelles formes d’anticonformisme et de résistance…
Comme c’est bon à savoir, eh bien faites-le donc savoir aussi autour de vous : cette session 2023 aura lieu les 5, 6, 7, 8 et 12 octobre.
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