Questions de société : « A Bruxelles, pourquoi l’urbanisme n’a-t-il pas rabroué radicalement son passé colonial ? ». « Et à la campagne, comment la majorité des agriculteurs parviennent-ils à survivre –alors qu’ils sont écrasés, comme jamais, par les multinationales et les banques ? ».
Ailleurs, il y a aussi de quoi s’insurger. En France, la police continue à user impunément d’une violence hors-norme –protégée par les plus hautes autorités de l’Etat.
Version « sociale » de la belle Union ? Tous les gouvernements du continent sont prêts à imposer une austérité doloriste à leur population… au lieu de taxer, beaucoup plus, les super riches et de combattre la fraude fiscale organisée –ce qui rapporterait, chaque année, des milliards.
Sans parler du matraquage médiatique imposant, partout dans le monde occidental, une version états-unienne de ce qu’il est juste de penser –des événements en Amérique latine ou en Palestine.
En rendant compte d’une actualité débridée si confondante, il n’est pas question pour autant de sombrer dans le catastrophisme, la nostalgie voire le défaitisme. Au contraire, ce 24ème Festival du Cinéma d’Attac se veut un moment enjoué et surprenant où il s’agit de s’approprier de nouveaux impératifs, de nouvelles formes d’anticonformisme et de résistance…
Comme c’est bon à savoir, eh bien faites-le donc savoir aussi autour de vous : cette session 2024 débutera le 21 novembre pour se terminer… le 19 décembre.
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